41 EHPAD dans la Haute-Vienne

Mazette est un service gratuit. Toutes les maisons de retraite médicalisées du département de Haute-Vienne sont référencées. Nous vous accompagnons jusqu'à l'entrée dans un établissement d'hébergement pour personne âgée dépendante (EHPAD) et pour l'obtention d'aides financières.

🛏️ 222 places sont disponibles en EHPAD en October 2025

💰 Votre chambre dans un EHPAD à partir de 1662 € par mois (avant aides)

213 avis pour vous guider : la note moyenne est de 3.6 sur 5

 

EHPAD Haute-Vienne
Les 5 Sens
EHPAD

Les 5 Sens

Limoges

3.4 - 11 avis

à partir de 1 999 € / mois
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Le Roussillon
EHPAD

Le Roussillon

Limoges

2.4 - 8 avis

à partir de 2 102 € / mois
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Professeur Joseph de Leobardy
EHPAD

Professeur Joseph de Leobardy

Limoges

3.8 - 6 avis

à partir de 2 075 € / mois
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Le Hameau du Buis
EHPAD

Le Hameau du Buis

Boisseuil

à partir de 2 473 € / mois
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Le Cantou
EHPAD

Le Cantou

Condat-sur-Vienne

3 - 2 avis

à partir de 2 084 € / mois
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Claude Madoumier
EHPAD

Claude Madoumier

Aixe-sur-Vienne

3.8 - 34 avis

à partir de 2 075 € / mois
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Michel Marquet
EHPAD

Michel Marquet

Les Cars

3 - 2 avis

à partir de 1 861 € / mois
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Bayles
EHPAD

MBV Bayles

Isle

3.6 - 7 avis

à partir de 2 590 € / mois
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Saint-Martial
EHPAD

Emeis Saint-Martial

Limoges

3.9 - 19 avis

à partir de 3 598 € / mois
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Le Mas Rome
EHPAD

Le Mas Rome

Limoges

4.4 - 5 avis

à partir de 2 008 € / mois
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Puy Martin
EHPAD

Puy Martin

Le Palais-sur-Vienne

2.7 - 7 avis

à partir de 1 994 € / mois
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La Valoine
EHPAD

La Valoine

Feytiat

2 - 1 avis

à partir de 1 835 € / mois
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Les Chênes
EHPAD

Les Chênes

Couzeix

4.7 - 3 avis

à partir de 2 228 € / mois
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Professeur Marcel Faure
EHPAD

Professeur Marcel Faure

Limoges

2.2 - 5 avis

à partir de 1 962 € / mois
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Jean Mahaut
EHPAD

Jean Mahaut

Nieul

5 - 3 avis

à partir de 2 182 € / mois
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L'Hôpital Chastaingt
EHPAD

L'Hôpital Chastaingt

Limoges

à partir de 1 952 € / mois
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La Chenaie
EHPAD

La Chenaie

Verneuil-sur-Vienne

2.5 - 28 avis

à partir de 1 803 € / mois
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La Pélaudine
EHPAD

La Pélaudine

Eymoutiers

4.3 - 16 avis

à partir de 1 909 € / mois
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Puy-Chat
EHPAD

Puy-Chat

Châteauneuf-la-Forêt

5 - 2 avis

à partir de 1 797 € / mois
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Comment fonctionne le service Mazette ?

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Je sélectionne des maisons de retraite

Nous listons toutes les maisons de retraite disponibles en France (EHPAD, USLD, résidences services senior, résidences autonomie, etc.).

Vous parcourez, filtrez ces établissements selon vos critères. Puis vous faits une sélection des établissements qui pourraient vous intéresser.

Vous personnalisez les informations que nous affichons. Par exemple l'estimation précise de votre reste à charge ou bien n'afficher que les établissements pouvant accueillir des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

2

Je remplis mon dossier

Nous vous posons des questions afin de préciser votre demande et personnaliser les informations que nous affichons. A ce stade une première simulation et une première version de votre dossier vous est proposé.

Nous générons un dossier qui sera communiqué à toutes les maisons de retraite qui vous intéressent.

Ce service est entièrement gratuit et ces éléments sont votre propriété. Vous pouvez télécharger votre dossier sous format numérique pour l'utiliser directement ou sur d'autres plateformes.

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Un expert m'accompagne jusqu'à l'admission

Nous échangeons avec vous pour valider votre dossier et notre compréhension de votre besoin.

Nous déposons votre dossier auprès de tous les établissements que vous avez sélectionné.

Nous vous accompagnons tout au long du processus d'admission au sein d'un établissement : prise de rendez-vous, visite(s), finalisation du dossier d'admission, signature des contrats.

Nous rassemblons 213 avis sur les 41 EHPAD dans la Haute-Vienne

Nous réunissons tous les avis sur les EHPAD dans le département de Haute-Vienne que nous pouvons rencontrer sur internet. Nous retraitons leur forme afin de les mettre à votre disposition de manière exhaustive et homogène. Vous êtes certain de savoir tout ce qui est dit sur un établissement et le plus simplement possible.

Ma femme, souffrant (?) d’une maladie apparentée Alzheimer, a été résidente pendant plus de huit ans à l’EHPAD des Cinq Sens à Limoges. J’ai donc eu tout loisir d’observer en positif ou en négatif le fonctionnement de l’établissement et l’évolution des soins et de l’ambiance.
J’assortis cet avis d’une note moyenne pour tenir compte du dévouement individuel du personnel – qui mérite cinq étoiles et, d’autre part, de l’administration de l’établissement qui mérite tout juste une étoile.
Le descriptif ci-dessus correspond bien à la réalité lors de l’entrée de ma femme ; le charisme de la directrice à l’époque faisait l’objet d’éloges largement partagés.
Depuis, les choses ont changé avec des hauts, mais aussi des bas regrettables. Les avis sont donc à rapporter au temps où ils été émis. L’éveil sensoriel qui constituait une spécialité de l’établissement a progressivement perdu de l’intérêt (je n’ai jamais entendu parler concrètement d’une salle Snoezelen pourtant présentée ci-dessus comme une fierté de l’EHPAD). Cette perte progressive de «souffle» est sans doute dû à un ensemble de causes : vieillissement des installations, turn-over du personnel, arrivée d’une nouvelle directrice, covid, absentéisme, gestion difficile des contraintes budgétaires,... Quoi qu’il en soit, le fait objectif reste que la qualité des soins et surtout de l’animation n’a cessé de se dégrader.

1. Je m’étais imaginé que la santé des résident(e)s était affaire de coopération entre l’équipe soignante et la famille, en particulier avec la personne de confiance, en l’occurrence moi même, comme mari. Dans mon raisonnement de profane, j’imaginais que cette personne de confiance était subrogée dans les mêmes droits que le patient. Quand un médecin remet une ordonnance à un patient, cette ordonnance n'est pas secrète pour ce dernier; le patient a tout loisir de lire l’ordonnance et de demander des explications au médecin, au pharmacien ou a toute autre personne compétente. Il ne va pas ainsi à l’EHPAD des Cinq Sens.
Je n’ai pas lieu de me plaindre, bien au contraire, des infirmiers et infirmières qui ont montré le même dévouement, la même empathie, la même compétence pendant tout le séjour de ma femme. Mais elles/ils sont soumis à «une hiérarchie», en l’occurrence le médecin coordinateur, le Dr M, qui limite drastiquement leur communication avec les familles.
Voici singulièrement le refus qu’il m’a été opposé dans la dernière semaine de vie de mon épouse. Tout est parti d’une escarre qui s’est infectée. Pour m’en faire une idée de la gravité, j’ai demandé innocemment à consulter l’ordonnance et les résultats d’analyse en tant que personne de confiance. Les infirmières m’ont dit que cela leur était interdit par leur «hiérarchie». J’ai donc été voir le Dr M qui m’a dit que cela est interdit par la loi sans me citer les articles pertinents . Je lui ai représenté que ce me paraissait une interprétation excessivement restrictive du secret médical. Rien n’y a fait. Un mur.
L’infection de l’escarre s’est propagée en infection urinaire et rapidement en «infection généralisée» fatale (ce que j’ai traduit par septicémie, mais le terme n’a pas été prononcé). Nouvelles demandes au Dr M de consulter l’analyse ; nouveaux palabres ; nouveaux refus abrupts au nom du secret médical opposable même à la personne de confiance.
Devant ces refus répétés de me communiquer ne fût-ce qu’une simple ordonnance, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que l’établissement avait quelque chose à cacher. Ce sentiment fait toujours partie de mon travail de deuil. Je n’arrive pas à écarter le soupçon que la source de cette septicémie fulgurante venait de l’établissement lui-même (combien de fois j’ai surpris un soignant passant d’un résident à l’autre sans changer de gants?).

2. Ma femme n’a bénéficié de presque aucune animation (quand j’arrivais, je trouvais habituellement ma femme assise sur une chaise ; comme elle était graphomane,il aurait suffi de lui donner systématiquement une feuille de papier et un crayon pour la tenir occupée pendant des heures au lieu de la laisser solitaire sur sa chaise. Il est vrai qu’on a fourni une feuille de papier à chaque fois que je l’ai demandée et que l’animatrice m’a assuré qu’elle lui en donnait de temps en temps). L’établissement était conscient des déficiences de l’animation, puisque des efforts ont été faits de temps en temps ; en fait l’animation au quotidien reposait largement sur la bonne humeur du proche au dévouement sans faille.

C’étaient les deux principaux points que je voulais aborder au cours de mon travail de deuil. Peut-être développerai-je les autres dans des avis supplémentaires :

3. Il y a eu des épisodes où l’hygiène était déficiente (des années où les odeurs étaient désagréables, où les pas sur le sol étaient collants, ...), mais des efforts ont été faits il est vrai.

4. De longues réunions ennuyeuses s’enlisaient dans des cas particuliers, avec le résultat que l’assistance y était devenue clairsemée ; finalement il était difficile à la directrice d’organiser des réunions faute d’intérêt. Les difficultés à trouver à trouver des volontaires ou des bénévoles ne sont peut-être pas étrangères à ces réunions démotivantes mal dirigées.

5. Nous avons connu un lapse de temps où l’accueil et le secrétariat étaient tenus par une femme voilée de la tête aux pieds. Cela ne manquait pas de gêner ceux qui y voyaient un acte militant, mais n’osaient pas s’exprimer ouvertement de crainte de passer pour racistes .

6. Les résidents perturbateurs (hurlements, agressivité,...) n’étaient pas neutralisés ; il y avait peut-être même, comme on me l’a avoué une fois, une politique de la direction de les concentrer dans l’unité où résidait ma femme. Je me souviens de ces longues heures anxiogènes avant le goûter où les résidents étaient dans la pénombre hors de toute présence d’un soignant incommodés par les vociférations d’une patiente. Un équilibre n’a pas été trouvé entre la nécessaire socialisation des éléments dits perturbateurs et le tout aussi nécessaire respect du bien-être des résidents.

7. Je suis intervenu plusieurs fois sans effet notable ni durable au sujet de l’éclairage parcimonieux de l’unité où résidait ma femme (la seule unité de l’établissement à souffrir de ce manque, d’ailleurs).

Ma Maman est décédée il y a une année et demi.
Ma Peine et ma douleur seront toujours présentes jusqu'à la fin de mes jours .
La " Directrice " de l'époque " ainsi que le Personnel devaient me contacter pour que ma Maman ne s'endorme définitivement sans que je lui tiennes la main , avec un dernier baiser.
Personne ne m'a appelé.
J'assume mes propos,
Établissement indigne , maltraitance ( photos à l'appui .
J'ai trouvé ma Maman avec du caca qui lui coulait sur les jambes .
Si on pouvait faire " manger " les résidents avec une Louche ...quitte à les faire s'étouffer, peux importerait.
Il faut croire qu'il y a une date de peremtion

comme pour les yaourts, sauf que ma Maman a commencé à travailler très tres jeune et à terminé sa carrière à 62ans .
Comme je l'ai dis, J'assume mes propos .
Si vous désirez vous pouvez me contacter.
Nous pourrons partager nos avis, même s'ils sont contraires aux miens.

C'est établissement est une machine à maltraitance des résidents et la direction du ccas le sait mais rien n'y change.
C'est purement politique et honteux

Bientôt les élections et aucun agent de l'établissement n'a fait la démarche pour que les résidents votent par procuration pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer. LAMENTABLE

Mon papa a passé des moments merveilleux au sein de cet établissement.
Le personnel est attentionné, compétent, professionnel, et laisse vivre les résidents selon leur rythme. Il y a des animations et des activités variées organisées par une équipe d'animation au top.

Les questions les plus fréquentes

Résider en EHPAD dans le département de Haute-Vienne coûte entre 1662 € et 4454 € par mois. Ce prix ne prend pas en compte d'éventuelles aides financières dont vous pouvez bénéficier auprès de l'Etat, de la région, du département ou de la ville.

En moyenne, le coût mensuel en EHPAD dans la Haute-Vienne est de 2505 €. Nous l'estimons sur la base de 41 EHPAD.

Consulter la liste des EHPAD dans la Haute-Vienne et identifier les aides auxquelles vous avez droit.

October 2025 : il y a 222 places disponibles dans le département de Haute-Vienne. Nous consultons régulièrement les 41 EHPAD qui sont référencés sur Mazette. La capacité totale des établissements du département est de 3827 lits.

C'est une simple estimation, il se peut que l'établissement dans lequel vous souhaitiez séjourner dispose encore de places mais que l'information ne nous ait pas été encore communiquée.

Trouver un établissement pouvant vous accueillir dans la Haute-Vienne.

Ce choix est personnel et dépend de nombreux critères. Nous pouvons en évoquer plusieurs :

  • proximité géographique de votre résidence actuelle et/ou de vos proches
  • capacité de l'établissement à vous accueillir selon votre niveau de dépendance et les places encore disponibles
  • reste à charge mensuel pour votre accueil en EHPAD
  • etc.

Mazette met à votre disposition gratuitement un ensemble d'outils pour vous aider à sélectionner les EHPAD dans la Haute-Vienne et vous accompagner dans cette étape pouvant être très chargée émotionnellement.

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