Paris : 11 USLD

Notre mère de 96 ans a été hospitalisée après un AVC. Nous avons été accueillis, écoutés, rassurés, consolés. Le médecin a pris le temps de nous expliquer, elle nous a laissé le temps d'admettre, elle nous a accompagnés, éclairés. Nous avons tout de suite été en confiance. Notre mère a été soignée, choyée, accompagnée jusqu'à son dernier souffle avec beaucoup de gentillesse et d'humanité par les infirmiers, les aides soignantes. La gentillesse et le professionnalisme de toute l'équipe de l'unité Chopin nous a vraiment aidés. Merci à vous.

très bel établissement, j’y suis allée voir mon papa à l’unité Malka ! et l’équipe est très gentil, néanmoins, le seul inconvénient, c’est que en allant voir mon père, j’ai trouvé deux souris, ou deux rat dans son placard ainsi que dans le poste de soins des soignants, il faut vraiment faire quelque chose contre ça car ça peut donner des maladies incurables aux patients de l’unité, des rats qui sont partout dans les poubelles, c’est incommensurable. Comment les soignants peuvent-ils travailler dans ces conditions, ainsi que réparer les toitures car c’est de là que je les vois descendre merci .

Médecin hors pair.

J'y ai travaillé pendant deux ans et demi en tant que psychologue clinicienne. L'équipe médicale (la MRG dispose de gériatres à plein temps, ce qui est un luxe) et paramédicale est professionnelle, attentionnée. Être psychologue en institution nécessite de prendre en considération la dimension psychique du résident et d'analyser les processus intrapsychiques qui s'actualisent au sein de l'institution. Par l'autonomie accordée au psychologue clinicien conjuguée au rythme des réunions, cette nécessité est respectée au sein de la Fondation de Rothschild.