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Bel Fontaine

Bel Fontaine

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Établissement public (CIAS)

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Bel Fontaine La Chambre

Bel Fontaine
122 rue de l'Église
73130 La Chambre

Capacités d'accueil et tarifs

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Service d'accueil

Personnes âgées dépendantes

Unité de vie protégé (UVP) pour personnes atteintes d'Alzheimer comprenant 14 chambres

Descriptif des chambres

Chambre simple

60 lits permanents

à partir de 2 171 € / mois

Chambre simple au sein d'une unité Alzheimer

14 lits permanents

1 lit temporaire

tarif sur demande

Avis

2.4 - 9 avis

Nous rassemblons tous les avis disponibles dans l'espace publique sur cet établissement.

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Françoise D.
Il y a 3 semaines

Je tiens à relater l’expérience douloureuse que ma nièce, dont j'étais la tutrice à la protection, vit aujourd'hui à l'EHPAD Bel Fontaine , non pas à cause des équipes soignantes qui font un excellent travail et je les en félicite. Le gros problème est lié la direction qui n’a pas respecté certains des droits fondamentaux de Mme N. et a pris des décisions très contestables . Suite à une encéphalopathie Mme N. souffre de troubles comportementaux neurologiques qui ont pu présenter un risque pour la sécurité des résidents, j'en suis pleinement consciente. De plus, Mme N. pouvait se montrer agressive avec le personnel soignant. La directrice a donc résilié son contrat en juin 2023, mais en tant que tutrice à la protection, j'ai fait valoir que les troubles du comportement de Mme N. étaient liés à sa pathologie et que son contrat ne pourrait pas être résilié avant qu'un établissement adapté à ses troubles l'accueille. Et ,
depuis , en tant que tutrice à la protection de Mme N., je n'ai plus jamais pu faire entendre ma voix par conséquent la voix de ma nièce: l'un des droits fondamentaux d'un résident en EHPAD n'a donc pas été respecté . La tutrice aux biens et la direction, malgré mes notifications successives, ont estimé que Mme N. souffrait de troubles psychiatriques et une orientation vers une unité de géronto-psychiatrie a été demandée, sans que , bien sûr, j'en sois informée . Quand j'ai appris incidemment cette possibilité d'orientation , j'ai informé la cadre de santé que je m'opposerais à cette orientation et celle-ci a déclaré que quand un bilan psychiatrique aurait été fait, je serais obligée d'accepter cette orientation. J'ai proposé de faire faire ce bilan auquel la direction tenait tant, mais je n'ai eu aucune réponse de la part de la cadre. Nous étions alors en octobre Le 22 novembre, la directrice de l'Ehpad me téléphone et me déclare" je dirige votre nièce vers le CHS". Ayant informé la veille de mon absence, je fais part de mes craintes à la directrice qui me répond" Ne vous inquiétez pas , je m'occupe de tout" Quel cynisme!! Elle avait , en fait, demandé, en tant que tiers, une HOSPITALISATION SOUS CONTRAINTE de Mme N. au CHS de Bassens alors qu’elle n'a que des relations administratives avec elle . De plus, le bilan psychiatrique étant prévu depuis près de deux mois, d'autres solutions, beaucoup moins contraignantes auraient pu être envisagées Deux jours plus tard, le personnel soignant du CHS m’a fait part de ses inquiétudes sur l'état de santé de ma nièce: elle ne s'alimentait pas, ne prenait pas ses médicaments, ne s'hydratait pas, restait prostrée sur son lit et il était impossible de communiquer avec elle. Bien entendu, la directrice n'avait pas prévenu l'équipe médicale que Mme N. est malentendante, ce qui est un cas de maltraitance par négligence. Naturellement le psychiatre qui a suivi Mme N. pendant son court séjour au CHS a notifié qu'elle n'avait rien à faire en psychiatrie puisqu'elle souffre de troubles neurologiques, ce que je n'ai jamais cessé de répéter, et elle a été renvoyée à l’EHPAD. Et comme la direction ne peut plus arguer de troubles psychiatriques pour faire quitter l'établissement à ma nièce elle argue de sa dangerosité. Or, aujourd’hui ,
si je ma base sur les témoignages des familles et des résidents eux-mêmes , les troubles du comportement de Mme N. ne leur posent plus de problèmes . Quant aux infirmières et aux aides-soignantes, elles ne soulignent pas de problème particulier , si ce n'est parfois un refus de s'habiller . Mais pire encore!. Suite à des allégations en partie mensongères et à certains propos diffamatoires de la directrice de l'EHPAD et de la tutrice , Mme Nagi a été présentée à la juge des tutelles comme une personne très dangereuse et ma famille et moi-même comme maltraitantes à son égard ! De ce fait la tutelle m'a été retirée. Le plus triste , c'est que c'est une personne fragile , qui fait les frais de cet acharnement et est la victime de ces agissements. Félicitations Mesdames, vous faites honneur à votre profession !

Françoise D.
Il y a 4 semaines

je tiens à relater l’expérience douloureuse que ma nièce, dont je suis la tutrice à la protection, connait à l'EHPAD Bel Fontaine , non pas à cause des équipes soignantes qui font un excellent travail et je les en félicite. Le gros problème est lié la direction qui n’a pas respecté certains des droits fondamentaux de Mme N. et a pris des décisions très contestables .
Suite à une encéphalopathie Mme N. souffre de troubles comportementaux neurologiques qui ont pu présenter un risque pour la sécurité des résidents, j'en suis pleinement consciente. De plus, Mme N. pouvait se montrer agressive avec le personnel soignant. La directrice a donc résilié son contrat en juin 2023, mais en tant que tutrice à la protection, j'ai fait valoir que les troubles du comportement de Mme N. étaient liés à sa pathologie et que son contrat ne pourrait pas être résilié avant qu'un établissement adapté à ses troubles l'accueille.
Et ,depuis , en tant que tutrice à la protection de Mme N., je n'ai plus jamais pu faire entendre ma voix par conséquent la voix de ma nièce: l'un des droits fondamentaux d'un résident en EHPAD n'a donc pas été respecté . La tutrice aux biens et la direction, malgré mes notifications successives, ont estimé que Mme N. souffrait de troubles pyschiatriques et une orientation vers une unité de géronto-psychiatrie a été demandée, sans que , bien sûr, j'en sois informée . Quand j'ai appris incidemment cette possibilité d'orientation , j'ai informé la cadre de santé que je m'opposerais à cette orientation et celle-ci a déclaré que quand un bilan psychiatrique aurait été fait, je serais obligée d'accepter cette orientation. J'ai proposé de faire faire ce bilan auquel la direction tenait tant, mais je n'ai eu aucune réponse de la part de la cadre. Nous étions alors en octobre
Le 22 novembre, la directrice de l'Ehpad me téléphone et me déclare" je dirige votre nièce vers le CHS". Ayant informé la veille de mon absence, je fais part de mes craintes à la directrice qui me répond" Ne vous inquiétez pas , je m'occupe de tout" Quel cynisme!! Elle avait , en fait, demandé, en tant que tiers, une HOSPITALISATION SOUS CONTRAINTE de Mme N. au CHS de Bassens. Or, si l'on se réfère à une décision de la cour d'appel de Dijon une directrice d'EHPAD ne peut faire une demande en tant que tiers car elle n'a que des relations administratives avec les résidents. De plus, le bilan psychiatrique étant prévu depuis près de deux mois, d'autres solutions, beaucoup moins contraignantes auraient pu être envisagées
Deux jours plus tard, le personnel soignant du CHS m’a fait part de ses inquiétudes sur l'état de santé de ma nièce: elle ne s'alimentait pas, ne prenait pas ses médicaments, ne s'hydratait pas, restait prostrée sur son lit et il était impossible de communiquer avec elle. Bien entendu, la directrice n'avait pas prévenu l'équipe médicale que Mme N. est malentendante, ce qui est un cas de maltraitance par négligence.
Naturellement le psychiatre qui a suivi Mme N. pendant son court séjour au CHS a notifié qu'elle n'avait rien à faire en psychiatrie puisqu'elle souffre de troubles neurologiques, ce que je n'ai jamais cessé de répéter, et elle a été renvoyée à l’EHPAD.
Et comme la direction ne peut plus maintenant arguer de troubles psychiatriques pour faire quitter l'établissement à ma nièce elle argue de sa dangerosité, ce qui est inadmissible d'autant plus qu’aujourd’hui ,si je ma base sur les témoignages des familles et des résidents eux-mêmes , les troubles du comportement de Mme N. ne leur posent plus de problèmes . Quant aux infirmières et aux aides-soignantes, elles ne soulignent pas de problème particulier , si ce n'est parfois un refus de s'habiller .
J'ignore comment cela va se terminer mais j'ai saisi l'ARS, le Défenseur des droits et le juge des tutelles et j'envisage d'intenter une action an justice pour hospitalisation sous contrainte abusive . je souhaite également informer le public par médias interposés afin que les familles des résidents soient particulièrement attentives aux décisions de la direction

Coco V.
Il y a 4 mois

La P.
Il y a 7 mois

Martine L.
Il y a 1 année

Je relate quelques fais passer à l'ehpad Bel Fontaine à la Chambre au sujet de mon père qui a résider plus de deux ans et décédé en novembre 2022. Je constate que sa belle montre en onyx à disparue et reste introuvable, une télé neuve acheté pour son bien être à l'ehpad est HS l'écran entièrement fissuré un impact et éraflure sur le côté. Bien sûr que tout est passé sous silence de tout le personnel. J'aurai préféré un peu plus de communication.

Réponse de l'établissement

Madame, je prends note de votre remarque et tiens à vous apporter une réponse. A l'entrée au sein de l'EHPAD, chaque résident ou son représentant signe un contrat de séjour. Pour rappel, celui-ci indique dans son ARTICLE 7 - RESPONSABILITE DE L’ETABLISSEMENT que dans le cadre de la loi du 6 juillet 1992, relative à la responsabilité du fait des vols, pertes et détériorations des objets déposés dans les établissements, les modalités suivantes sont applicables :
- A l’entrée dans l’E.H.P.A.D. une information orale est faite par le responsable sur lesdites dispositions
- Il est conseillé au résident de déposer à la banque les sommes d’argent, titres et objets de valeur ou auprès de la perception de La Chambre
- A défaut de cette précaution, ou si le résident souhaite expressément conserver auprès de lui certains biens personnels de valeur, l’établissement ne pourra être tenu pour responsable.
- Un coffre est à la disposition des résidents dans le bureau de la directrice, les retraits s’effectueront aux heures de présence de celle-ci après demande dans des délais raisonnables. Un inventaire contradictoire sera dressé par écrit et mention sera faite sur un registre prévu à cet effet.
L'établissement et son personnel ne peuvent donc pas être tenus responsable de la disparition de la montre en onyx de votre père. Il s'avère d'ailleurs qu'aucun personnel n'a le souvenir d'un tel objet de valeur.
Concernant la TV, je suis surprise de votre remarque car je n'ai jamais eu de plainte de votre part à ce sujet.
Comme indiqué lors de la visite de préadmission ou de l'entrée, la direction et l'encadrement reste disponibles et à l'écoute des résidents et des proches pendant toute la durée du séjour.
Je reste à votre écoute si vous avez besoin de renseignements complémentaires.
S.LEFEVRE ROMAGNY Directrice

Sylvie B.
Il y a 1 année

Baudin N.
Il y a 1 année

Nous lisons beaucoup d’avis positifs et sommes contents de voir qu’il existe des familles pour qui les choses se passent bien dans cet EHPAD. Nous aimerions, à notre tour, relater l’expérience que notre parent a vécu au sein de cette structure, il y a un an tout pile. Décédé depuis, il nous a fallu du temps pour « digérer » et prendre le recul nécessaire afin de ne pas avoir des mots excessifs. Aujourd’hui, nous pouvons écrire de manière objective en nous basant, la plupart du temps, sur des constats et non sur notre interprétation. Avant toute chose, nous souhaiterions dire que ce que nous allons relater ne concerne pas les acteurs de terrain (aide soignants, infirmiers) qui font, pour la plupart, de leur mieux pour soulager nos ainés. Nous leur demandons de ne pas se sentir concernés. Notre parent a passé 4 mois à l’EHPAD de La Chambre. Cela fut donc une expérience courte mais suffisamment longue pour pouvoir constater les éléments suivants : - Trois semaines après son arrivée, notre parent a été hospitalisé pour une problématique de santé qui figurait bien dans son dossier médical. Nous avons appris par des bruits de couloirs provenant de l’hôpital, que sa place était désormais compromise dans l’EHPAD qu’il venait de rejoindre car son accompagnement demanderait un investissement trop important. Il a fallu que nous allions sur place pour rencontrer l’équipe de direction (directrice + médecin) afin d’expliquer notre mécontentement. Durant l’échange, nous avons eu l’impression que le dossier médical n’avait même pas été consulté en amont de l’admission, que l’équipe découvrait sa pathologie il est vrai assez préoccupante. De plus, nous ne nous sommes pas gênés pour leur faire remarquer que, si prise de décision était à prendre, la moindre des choses eût été de consulter le patient et sa famille. Beaucoup moins de questions se sont posées lorsqu’ils ont encaissé le premier chèque le jour de l’admission bizarrement… - A son retour d’hospitalisation, notre parent n’avait pas ses médicaments sur place (malgré notre passage en amont pour distribution de l’ordonnance). Nous avons dû palier, en allant à la pharmacie nous-même. Qu’en est-il lorsque la personne concernée n’a pas de famille ou de proche aidant ? - Il est toujours possible de débattre sur l’idée qu’une douche par semaine (hiver comme été) est satisfaisante. Mais qu’en est-il lorsque le jour de douche tombe un jour férié et que notre parent passe plus de deux semaines sans être douché ? Notre parent a peiné à palier à ce manque de bienveillance inadmissible… - Dans le détail de la facturation, notre parent ne comprenait pas à quoi correspondait le montant de 200€ qui lui était mentionné. Il lui a été dit que cela concernait les petites aides quotidiennes telles que « Passer le gant dans le dos ». L’aide, même minime, prodiguée à nos ainés n’est donc jamais dépourvue de quelconque intérêt financier… - Notre parent a été cas contact en novembre 2021. Placé à l’isolement, il n’a pas eu la moindre visite de l’équipe de direction et médicale durant ce temps. - A son arrivée à l’EHPAD, notre parent a eu une hémorragie nasale. Il a essayé d’appeler à l’aide mais la sonnerie était débranchée sous le lit. Les acteurs de terrain n’ont pu être prévenu et n’ont pu intervenir que 3h après le début d’hémorragie. Vous comprendrez donc le sentiment d’insécurité qu’a ressenti notre parent par la suite. - Lorsque notre parent est décédé, nous n’avons eu aucun mot de l’équipe de direction. Nous ne sommes pas satisfaits de ce que notre parent a vécu sur place et nous ressentons désormais une colère froide mais déterminée grâce à la prise de recul qui nous amènent aujourd’hui à dire cela.

Réponse de l'établissement

Madame, je vous remercie pour votre évaluation. J’ai pris aussi un peu de temps pour vous répondre, pour vérifier l’ensemble de vos griefs (qui nous ont étonnés).
Je ne peux pas laisser vos remarques sans réponse car elles discréditent la qualité du travail réalisé au quotidien par l’ensemble des professionnels. Par devoir de discrétion et de secret professionnel, nous ne pouvons pas apporter une réponse construite à chacune de vos remarques sur ce commentaire, mais nous restons à votre disposition si vous avez besoin de précisions.
- Comme nous vous l’avions précisé, le service médical d’un EHPAD accompagnant les résidents est uniquement composé de son médecin traitant et d’infirmiers en poste la journée. Nous n’avons pas de plateau technique comme à l’hôpital, permettant l’accès à un médecin 24h sur 24. Dans certaines situations, le résident et ses proches peuvent faire le choix de rester dans la structure, comme dans votre cas.
- En ce qui concerne l’accompagnement aux actes de la vie quotidienne et notamment la toilette : Un accompagnement à la toilette corporelle est assuré tous les jours par notre équipe soignante et une aide à la douche est assurée une fois par semaine, sauf en cas de refus du résident. Il est vrai que des difficultés de personnel peuvent exceptionnellement impacter le rythme de douche.
- Au niveau de la facturation, nous avons le détail des factures et des encaissements de votre papa, et nous nous tenons à votre disposition pour échanger sur ce sujet. Pour rappel, notre établissement est un établissement de la Fonction Publique Territoriale, sans aucun enjeu de rentabilité :
• Nos tarifs sont règlementés par un arrêté annuel signé par le Président du Conseil Départemental et affichés à l’entrée de l’établissement. Notre comptable est le Trésor public. Ainsi, il est impossible que des « petites aides quotidiennes telles que "passer le gant dans le dos" soient facturées.
• Comme indiqué dans le contrat de séjour, toutes les aides aux actes de la vie quotidienne sont comprises dans le prix de journée. Le montant de 200€ indiqué dans votre commentaire, correspond, comme indiqué sur la facture, à la période de réservation de la chambre.
• Les chèques de caution sont envoyés par notre établissement au Trésor Public et encaissés dans un délai d’une à deux semaines.
- Concernant l’appel malade : des dysfonctionnements peuvent être présents. Notre équipe technique tente de répondre dès qu’elle en a connaissance.
Enfin, l’EHPAD est un lieu de vie où le personnel, en lien avec les familles, accompagne les résidents dans la dernière étape de la vie. Nous n’avons pas les mêmes ressources médicales, soignantes et techniques qu’un hôpital et sommes donc limités dans la gestion de certaines pathologies.
L’équipe de direction reste disponible comme elle l’a été lors du séjour de votre proche.
S.Lefèvre

Alexandre B.
Il y a 5 années

Lorangeade
Il y a 7 années

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Mis à jour par Marina
le 26/03/2024

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