69 EHPAD dans la Dordogne

Établissement extrêmement mal géré, la direction vend du rêve aux familles. Mensonge sur la qualité de la prise en soin. Équipe soignante en difficulté, peu importe ce qui est demandé et expliqué à l'équipe de direction, c'est toujours la faute des soignants. Aucune remise en question de leur part. Suppriment les commentaires qui ne les encenses pas.
Erreurs enormes sur les fiches de paie, il faut batailler pour etre payé ce qui est du. Adjointe de direction n'hésite pas à virer les personnes qui osent dire ce qui ne va pas, alors que ces soignants sont compétents. Aucun dialogue, aucune écoute reelle.
Il y a soit disant des astreintes mais exigent de ne pas les "déranger" la nuit, et d'appeler apres 7h. En revanche, la prime d'astreinte n'est jamais oubliée.
Pas de matériel pour travailler, les gants de toilette sont limités, protections idem.
Concernant les repas pour les résidents, nouvelle mesure qui rationne les portions. Directives de ne plus reservir les gens pour le café, plus de jus de fruits pour les nouveaux arrivants... une catastrophe.
La directrice n'est pas en mesure de se poser les bonnes questions quand à la raison pour laquelle les soignants ne restent pas. Aucune écoute réelle. Il y a de quoi dégoûter du métier... on travaille pour le profit de la boite et les primes du Codir, plus pour les résidents.
Demissions successives de 3 cadres infirmiers, demission de 2 médecins coordinateurs... demission de tous les soignants titulaires...
Pour plus de 3000 euros/mois, je vous conseille de trouver autre chose!
Peu importe ce qui est dit dans les bureaux, c'est une boite privée qui fait de l'argent sur le dos de nos aînés, et de leurs famille.

Je viens souvent sur Bergerac voir ma mère et mon beau père dans cet établissement.
Le personnel est au top, à l'écoute, équipe soudée et bienveillante.
Structure à taille humaine bien tenue,
Félicitations.

Une partie du personnel est incompétent, on ne peut qu'être méfiants à l'égard de certaines infirmières et/ou aides soignantes qui ne respectent pas les ordonnances des médecins... et qui affirment le contraire.

Je ne recommande pas cet Etablissement.

J'habite Montpellier, donc loin du Bugue. Le 17 décembre 2024 après-midi, avec mon fils, je suis allée voir mon père à l’Ehpad Lobligeois du Bugue. Il y est depuis le 14 octobre 2024. Il est dans un fauteuil roulant et peut se déplacer seul dans les couloirs de l’Ehpad. A un moment donné, il me demande d’aller aux toilettes, je préviens les aides-soignantes qui me répondent « qu’il n’a qu’à faire dans sa couche », j’insiste, mon père souhaite aller aux toilettes, elles s’exécutent. Quand mon père a terminé, je les préviens, elles arrivent et je les entends dire dans les toilettes : « On ne l’essuie pas, on fera ça ce soir. »

Le 7 mai 2025, je retourne voir mon père avec ma fille et ma petite-fille qui habitent la Réunion. Il est ravi de faire la connaissance de son arrière-petite-fille. Il est très faible, alité. On ne le met plus dans son fauteuil roulant.

Je retourne voir mon père le 12 mai à 11h30, et là, ce que je vois est effrayant. Tout tordu dans son lit, excessivement faible. Son petit-déjeuner intacte sur sa table, il n’y a pas touché, il ne peut pas l’atteindre, il est incapable de se nourrir, de boire seul. Il me réclame à boire, je le fais boire, son déjeuner arrive, personne ne s’occupe de lui, ne lui propose de le faire manger, de le faire boire ; je m’en charge et réussit à lui donner trois demi cuillères à café. Il me demande d’aller aux toilettes, il voudrait uriner, je vais chercher les aides-soignantes qui me disent qu’il ne se lève plus, qu’il fasse dans sa couche, on la lui changera. Je décide de prendre les choses en main et lui installe le pistolet. Je m’y prends mal, il urine dans son lit, j’appelle les aides-soignantes afin qu’elles le changent, qu’elles changent ses draps et là, je découvre une énorme plaie de la taille de ma main sur l’une de ses fesses, une autre plus petite sur le dos, les deux non soignées. J’appelle les aides-soignantes qui me disent que les dames qui lui ont fait la toilette le matin ne les ont pas prévenues. Les plaies ne datent pas du matin, ni de la nuit, elles sont plus anciennes. J’insiste pour qu’elles appellent les infirmières, les infirmiers et j’entends, alors que je suis restée dans la chambre avec mon père, celle qui téléphone dans le couloir dire ces mots : « Non, là, il faut vraiment venir, il y a la famille. » Au bout d’un moment, une infirmière vient et me dit que ce n’est pas grave, que ce ne sont pas des escarres, mais des ampoules. Des ampoules de la taille de ma main, non soignées !!!
Je le trouve chaud, il tousse beaucoup semble souffrir, on me dit que le médecin doit le voir jeudi. On est lundi 12 mai!!!

Le 19 mai, l’Ehpad m’appelle et me dit : « votre père ne va pas bien, on a appelé le médecin, il ne travaille pas aujourd’hui, il doit rappeler demain. ». Je leur dit d’appeler le 15. Dans un premier temps, on refuse, je suis obligée de leur crier : « Je vous ordonne d’appeler le 15, c’est le 15 qui jugera si oui ou non, c’est grave, s’il faut hospitaliser ou non mon père ! On n’attend pas demain le coup de fil du médecin. »
L'Ehpad me rappelle plus tard pour me dire que mon père a été hospitalisé à l’hôpital de Sarlat.
L'infirmière de l'hôpital me dit au téléphone qu'il est arrivé avec une infection pulmonaire, déshydraté...
Il dédède aux soins palliatifs de l'hôpital de Sarlat le 21 mai dans mes bras; heureusement, depuis son entrée à l'hôpital je sais qu'il n'a plus souffert.

Un super établissement. Je recommande. Maman y est résidente en unité sécurisée depuis octobre 2024 et elle est très bien soignée et entourée. Des activités sont mises en places et nous la famille sommes très bien informés et reçus. Le personnel soignant est toujours agréable et accueillant et prend le temps aussi de nous parleR.
Merci pour tout ce que vous faites. Depuis que maman est chez vous nous sommes soulagés et apaisés. Elle a pris du poids et se porte beaucoup mieux. Encore merci